"Parcours Croisés" - Suite - Chapitre 27
Parcours croisés Jeudi
Chapitre 27
Jonathan - Nelly
(Jonathan)
Hier soir, quand il ma ramené chez moi, Christophe ma engueulé : parce que jai beaucoup bu, parce que jai été avec Véronique toute le soirée, et que cest pas bien dêtre comme ça chez des amis
jai rien dit, ça sert à rien, et puis javais pas bu tant que ça ; jai fait semblant de dormir, sinon pour le coup, il maurait encore plus engueulé
et puis cest les autres filles qui nous ont trouvés dans lherbe avec Véro et je crois quelles ont rien dit à Alain et à Christophe
ça aurait été mal
quand elles sont arrivées jai eu peur
alors jai joué livrogne
et quand une, je sais pas qui, ma rhabillé en mettant ma queue dans le slip, jai failli me mettre à bander encore. Véro, elle, elle ne faisait pas semblant ; elle était bien bourrée. Déjà pendant tout le repas je mettais ma main sur sa cuisse et elle disait rien
la première fois, cétait sans faire exprès : javais fait tomber la fourchette sur ses genoux et ça la fait rire, alors jai continué et elle a rien dit
alors Christophe il devrait aussi lengueuler à elle, parce que cest aussi un peu sa faute.
Après jai mis la main sous sa robe et elle voulait bien, même quelle a remis la robe par-dessus ma main pour que les autres voient rien. Je ne croyais pas quune fille comme Véro elle me laisserait lui toucher la chatte devant tout le monde
bon je me cachais, mais quand même
ils auraient pu voir ! Dans le canapé, après, quand ils continuaient à se raconter des histoires dehors, jai aussi mis ma main à lintérieur de la culotte, mais là elle dormait un peu ! Jai senti quelle navait presque pas de poils, sauf un peu en haut
moi ça me faisait bander, mais jai attendu quils rentrent dans le salon, ils soccupaient plus de nous, ils étaient occupés à danser. Là, Véro, il fallait que je la porte, elle savait même plus marcher toute seule
et quand jai mis ma queue dans sa bouche, elle ne bougeait presque pas ; elle na pas bien sucé : je crois quelle dormait, mais cétait bien quand même.
Il était bientôt midi, mais je navais pas trop envie de me lever ; jai mangé des Choco Pops directement dans la boîte avec du jus dorange et je suis descendu prendre ma douche. Jétais à peine rentré de la douche et je mhabillais quand Nelly a frappé à la porte. Elle a pas voulu me faire la bise et elle a un peu fermé les volets pendant que je mhabillais. Le pantalon était tâché de noir sur le côté et derrière, mais je lai mis quand même, les autres étaient dans le panier du linge sale pour la laverie :
- Ma tante ma appelée ce matin. Elle veut quon aille chez elle. Elle ma dit de venir te chercher.
- Encore aujourdhui ?
- Oui ! Aujourdhui
dépêche-toi ! Et tu devrais te changer, elle ne veut pas que tu mettes un caleçon ; elle te la déjà dit !
- Oh lala ! Quest-ce que ça peut faire
- Tu ferais mieux dobéir !
- Tobéis toujours, toi ?
- Bien sûr que oui ! Je fais ce quelle ordonne ! Et tu ferais bien den faire autant !
- Bon ça va
tourne-toi alors
- Non, je regarde ! Vas-y, dépêche-toi ! Elle ma dit de surveiller !
Je me suis rhabillé avec la culotte que javais prise au magasin lundi.
Pendant quon traversait le parc, Nelly marchait devant moi. Elle avait la même jupe plissée que la dernière fois et elle navait pas mis de soutien-gorge : javais vu ses tétons à travers le t-shirt. Javais voulu toucher son bras avant de sortir de la chambre, mais elle mavait donné une gifle. Je lai rattrapée :
- Ça fait longtemps que tu vas chez elle ?
-
- Allez
ça fait longtemps ?
- Cest ma tante
depuis toujours
- Oui, mais
tu sais
des trucs de sexe, quoi !
- Quatre ans
- Waouh
cest beaucoup
tavais quel âge ?
- 17
- Moi jen ai vingt !
- Je sais ! Tais-toi !
On a fini le chemin sans parler.
- Lave-moi ! Elle vérifiera !
Elle ne me regardait pas et elle était toute rouge. Je lai lavée et jai reposé le gant.
Après, cest elle qui ma lavé aussi. Elle a baissé ma culotte sur mes genoux et ma frotté aussi avec le gant. Après, elle a pris une crème dans un pot en verre et elle en a mis sur le gland et juste en-dessous et puis partout sur les couilles et mon trou du cul. Elle a remis la peau sur le gland en tenant le bout serré et jai senti que ça commençait à chauffer fort. Jai voulu me reculer mais elle tenait serré la peau au-dessous du gland et elle ma retenu.
- Ne bouge pas ! Tu vas thabi !
Je sentais que javais des larmes dans les yeux tellement ça brûlait. Elle a remonté ma culotte et sest encore assise sur la baignoire :
- Tu dois men mettre aussi ! Fais attention, ten prends juste un peu au bout du doigt !
Elle a écarté son sexe comme quand je la lavais, en tirant sur les lèvres avec ses deux mains. Jai étalé à lintérieur du sexe et puis sur son cul aussi.
- Sur mes seins aussi, les tétons et le dessous !
Après avoir étalé, ça me brûlait encore plus parce que je bandais un peu ; jai rangé le pot et je me suis lavé les mains. Elle était penchée en avant et elle pleurait aussi.
On est allé dans le salon, sur le canapé, et on a attendu. Javais limpression que mes couilles avaient doublées de volume et le cul brûlait.
Au bout dune demi-heure, jai entendu une porte souvrir au fond du couloir et sa tante est arrivée. Elle avait une guêpière qui finissait en pointe sur le ventre en-dessous du nombril et qui lui serrait la poitrine, des bas et des talons hauts, mais elle navait pas de culotte ; cétait la première fois que je la voyais sans culotte et elle avait les poils gris. Elle avait des gants noirs et une espèce de badine dans une main quelle faisait claquer sur lautre main
(Nelly)
- Nelly ?
- Oui, ma tante ?
- Tu as obéi ?
- Nous sommes lavés, nous avons mis la crème
- Bien !
Jai fait bien attention à respecter toutes les consignes quelle mavait données ce matin. Je craignais un peu que Jonathan ne fasse des difficultés, quil ne veuille pas mobéir
mais tout cest bien passé : ma tante avait raison
il est toujours prêt à obéir. Je le trouve plutôt gentil, mais elle ma dit de ne pas le montrer ; il nest pas très futé
un peu simple, même, mais gentil. Elle ma dit que si tout se passait bien, il pourrait assez vite devenir comme moi.
Moi, ça fait quatre ans
quatre ans quelle méduque. Je sais quelle est fière de moi. Cest elle qui a voulu que jai un petit ami « officiel » ; cest elle qui a choisi le fils de Christophe ; jai le droit de le caresser mais lui ne doit pas me toucher ou me déshabiller ; il verrait les traces de cravaches sur mes seins ou mes fesses
elle fait exprès de me marquer pour que je me cache
et puis il croit que je suis encore pucelle, sil savait ! Je ne laime pas
jobéis à ma tante et je continue à le voir, mais il magace
je préfère encore Jonathan
Elle a voulu vérifier
elle ma dit douvrir les cuisses pour vérifier si Jonathan mavait mis du baume à lintérieur de la vulve, entre les petites et les grandes lèvres, sur toute la hauteur de la fente.
Elle sest retournée vers Jonathan et lui a fait enlever cette culotte de femme avec les petites dentelles ; il est un peu ridicule avec ça
Moi aussi jai dû lui mettre trop de baume : la peau des testicules et le gland sont tellement rouges quils en sont presque violets, ça doit le brûler autant quà moi, mais il ne dit rien
son sexe est un peu redressé
Elle ma dit quelle était très contente davoir trouvé un jeune homme comme lui, parce quil obéit naturellement, et aussi parce quil « était une nature », toujours prêt à bander, même si elle aurait préféré quil ait un plus gros sexe.
Elle ma tendu les cordes quon avait préparées et jai attaché Jonathan comme elle me lavait expliqué. Je lai fait coucher sur la table du salon avec un gros coussin replié sous les reins qui lui soulevait les fesses, les pieds sur la table et les chevilles attachées par les descentes de cordes aux pieds de la table, maintenant ces jambes très écartées. Ensuite jai attaché ses poignets et relié les cordes aux deux autres pieds de la table. Elle a vérifié que les cordes étaient bien tendues et ma fait signe de continuer. Je me souviens que la toute première fois où elle mavait attachée, javais très peur, elle ne mavait pas expliqué pourquoi elle mattachait
et Jonathan, lui, na pas lair davoir peur, cest étonnant
Ce jour-là, après mavoir attachée exactement dans la même position, javais quatorze ans, elle ma dit « on va se débarrasser dun détail » ; elle a mis un doigts de chaque main à lentrée de mon vagin, les a poussés à lintérieur, et en les écartant tout dun coup, elle a déchiré mon hymen, avec ses doigts, et ma dit : « voilà jeune dame, tu nes plus une innocente pucelle » ; jai pleuré, pas vraiment de douleur, je ne sais plus pourquoi mais je pleurais
Je lui ai enfoncé sa culotte dans la bouche ; jai pris la dernière corde, repliée en deux ; jai passé les extrémités dans la boucle, pour faire comme un lasso que jai enfilé sur mon poignet. Jai refermé le pouce et lindex en anneau au-dessus des testicules et fait glisser lanneau de corde avec lautre main et jai tiré sur la corde pour refermer la boucle ; jai levé la tête et elle fronçait les sourcils ; jai fait glisser la peau du scrotum sous la corde, en tirant vers le bas, pour laisser plus despace aux testicules, et jai resserré la boucle plus fort ; cette fois elle fait signe « oui » avec la tête. Je voyais les narines de Jonathan palpiter très vite, et son sexe tout droit, bandé au maximum. En tirant les testicules vers le bas, jai enroulé les deux brins de cordes : deux tours au-dessus de la boucle, bien serrés, qui ont tendus encore plus la peau sur sa verge, et deux tours sous la boucle, qui ont tendus la peau du scrotum sur les boules, le dernier tour moins tendu sous les testicules pour y passer les brins de cordes dessous, et jai tiré un coup sec pour que les cordes se bloquent. Les tours de cordes formaient comme un tube de deux ou trois centimètres éloignant ses testicules de son corps. Jai attaché les brins de cordes aux pieds de la table.
Elle ma repoussé de sa cravache et sest placée entre les jambes de Jonathan.
(Jonathan)
Elle me regardait et elle a mis sa main sous mes couilles et puis elle a tapé dessus avec sa badine. Je me suis tordu sur la table tellement javais mal et je criais dans la culotte, mais les cordes étaient trop bien attachées, et je ne pouvais pas bouger. Elle a relevé encore la badine et a cinglé ma cuisse ; elle a soulevé mes couilles dans sa main et a donné la badine à Nelly :
- A toi, Nelly !
Nelly ma regardé et jai eu peur, parce quelle pleurait et quelle souriait en même temps ; et elle a tapé, moins fort que sa tante, mais je me suis encore tordu sur la table tellement ça faisait mal.
- Branle-le ! et prends ça !
Nelly a pris la bouteille que sa tante lui tendait. Elle en a renversé dans sa main et puis elle a fait couler du liquide sur ma queue et mes couilles ; cétait froid. Et puis elle ma branlé en allant vite et en serrant les doigts et le liquide faisait glisser. Avec lautre main elle tenait mes couilles en les pressant un peu et en tirant vers le bas, mais sans me faire mal. Elle ma branlé jusquà ce que je gicle et elle a desserré un peu la corde autour de mes couilles, mais en me laissant attaché sur la table.
En face de moi pour que je voie ce quelle faisait, sa tante a passé des cordes en croix entre les seins de Nelly et en nouant dautres cordes, elle a attaché les seins ; ça faisait deux grosses boules un peu violettes qui dépassaient tout droit et les tétons étaient encore plus gros et plus longs quavant. Nelly se mordait les lèvres. Elle la aussi frappé avec la badine, sur les seins et sur les fesses ; Nelly serrait les dents et gémissait mais elle ne bougeait pas et elle gardait les bras repliés dans le dos. Elle est plus courageuse que moi, Nelly ; quand elle ma tapé, si je navais pas été attaché je me serais enfui
mais elle, elle ne bouge pas et elle ne crie pas non plus
- Va chercher les plugs dans la chambre ! Et ramènes le coffret bleu aussi !
Nelly est partie dans le couloir et sa tante sest approchée de moi, elle a enlevé la culotte de ma bouche et elle sen est servi pour messuyer le ventre :
- Tu as vu ! Nelly ne bouge pas ! Elle est plus forte que toi !
je vais te détacher et tu feras exactement ce que je te dis ! Cest compris ?
- Oui madame, jai compris
je peux être fort moi aussi
- On verra ça !
Elle a détaché mes mains et mes pieds et elle ma tendu la main pour me relever. Elle a cinglé fort sa badine sur mes fesses, deux fois, et je nai pas bougé, mais javais des larmes dans les yeux. Elle a mis le bout de la badine sur mes couilles et elle les faisait bouger :
- Tu vas faire ce que je te dis ! et regarde-moi !
alors ?
-
oui madame
- Plus fort !
- Oui madame !
Nelly a posé un petit coffre sur la table. Sur le couvercle il y avait un cône en plastique noir : cétait comme quatre boules de plus en plus grosses en descendant :
- Fixe-le sur un coin de table ! Donne-moi le pot de lubrifiant
sur le buffet !
Elle ma fait pencher sur la table, les deux mains appuyées et elle ma fait écarter les cuisses avec la badine :
- Ce que tu as sous les yeux sappelle un plug ! Le premier étage mesure trois centimètres de diamètre, et ensuite quatre, cinq et six centimètres ! Regarde-le bien ! tu vas tasseoir dessus quand je te le dirais !
Nelly, prépare-le !
Nelly sest mise derrière moi et elle ma mis une crème froide dans la raie des fesses et puis dedans aussi en rentrant un doigt, et elle ma fait redresser.
- Prépare le plug aussi !
Elle a encore trempé le bout des doigts dans le pot et elle en a mis partout sur le truc. Elle partait pour poser le pot, mais sa tante la retenue par le bras :
- Montre-lui !
Nelly a posé le pot en poussant un soupir. Elle a respiré fort deux ou trois fois et puis elle sest mise au-dessus du truc fixé avec une ventouse sur le coin de table et elle sest accroupie au-dessus en pliant les genoux et puis elle est descendue un peu par petits coups :
- Ça suffit !
Jonathan
(Nelly)
Il navait pas lair très fier. Je lai guidé :
- Tourne-toi
dos à la table, baisse-toi un peu
appuie tes mains derrière
recule les pieds, un peu
voilà, descends doucement
Jai mis les deux mains entre ses jambes, les paumes à plat sur ses fesses pour bien les écarter pendant quil se baissait
- Arrête-toi comme ça ! Nelly enlève cette corde !
Jai dénoué la corde autour de ses testicules pendant quelle sortait deux gros anneaux du coffret. Avec une petite clé, elle a défait une vis sur chacun et ils se sont ouverts en deux. Elle a placé un demi-anneau sous les testicules de Jonathan, lautre au-dessus, a revissé ; elle a recommencé avec le second en le mettant au dessus du premier. Quand elle a lâché ses testicules quelle soulevait de sa main, elles sont descendues plus bas que dhabitude, la peau étirée vers le poids des deux anneaux en acier. Les jambes de Jonathan à demi-pliées et ses bras rejetés en arrière tremblaient un peu sous leffort quil faisait pour se maintenir au-dessus du plug.
- Soupèse Nelly !
Je me suis agenouillée entre ses jambes et jai soulevé ses bourses dans la paume de ma main : les anneaux étaient lourds et jai senti la chaleur des testicules sur ma main :
- Elles sont très chaudes !
- Cest lafflux de sang qui fait ça !
Jai relâché les testicules qui se sont mises à pendre devant langle de la table. Jonathan sétait remis à bander, son sexe horizontal à hauteur de mes yeux.
- Jonathan ! Il faut recommencer !
Aide-le Nelly !
Jai remis mes mains sous ses fesses en étirant la peau vers ses hanches, par saccades, mais il restait arcbouté sur ses bras et la pointe de ses pieds. Un coup de cravache sur son gland, une saccade de mes mains, et il est descendu dun cran, absorbant le second diamètre dans lanus. Il na pas crié mais de grosses gouttes de transpiration coulaient de son front et des larmes noyaient ses yeux.
Jai massé dun doigt les chairs étirées autour du plug et jai rajouté du lubrifiant sur la boule suivante : je savais quelle naccepterait pas de sarrêter là
Elle a tendu vers la bouche de Jonathan le bâton de bois que je connaissais bien pour lavoir très souvent mordu. Il avait toute la détresse du monde dans les yeux quand il a fermé les dents dessus.
- Nelly
tu sais comment faire !
Jai regardé Jonathan dans les yeux, durcissant mon regard. Je me suis redressée sur les genoux et me suis approchée à toucher langle de la table. Son gland butait sur mes seins gonflés par les cordes et je sentais le froid des anneaux sur mon nombril :
- Il faut que tu mobéisses, maintenant
passe tes deux mains autour de mon cou
tout de suite
Un bras après lautre il sest accroché à moi en passant ses mains derrière mon cou. Je sentais ses cuisses trembler de plus en plus. Jai passé mes avant-bras sous ses cuisses, au creux des genoux, repassant mes mains au dessus de ses jambes :
- Mords !
Et en même temps que je lui disais de mordre, jai soulevé ses genoux dun coup, lui faisant perdre lappui de ses pieds au sol. Il est descendu dun coup en arquant le dos avec un profond grognement au fond de la gorge. Il se tenait fermement derrière mon cou, bras contractés, yeux écarquillés de la pointe de douleur qui avait étiré ses sphincters dun coup. Il cherchait le sol des pieds mais je tenais fermement ses genoux levés ; il sest relâché contre moi détendant ses jambes ; jai glissé mes bras plus loin sous les genoux, les relevant presque à hauteur de mes épaules et je me suis plaquée à lui, passant mes bras dans son dos et en le serrant fort contre moi. Je le tenais serré contre moi et il me regardait, le regard suppliant. Je me souvenais davoir avant lui été dans la même situation, serrée dans les bras de ma tante au-dessus du même objet
et jai eu envie de lui faire mal, quil éprouve ce que javais éprouvé
je le portais, bras serrés sous ses cuisses et mains nouées dans son dos, ses tibias autour de mes seins gonflés et douloureux
jattendais quil se détende quil shabitue à létirement de son anus
je sentais les contractions de son sexe entre mes seins ; je lai soulevé un peu dans mes bras et jai vu le soulagement dans ses yeux
et je lai tiré vers le bas, me suspendant à lui de tout mon poids. Il sest brusquement raidi dans mes bras serrés, hurlant dents fermés et jai reconnu le moment exact où il glissait sur le dernier cran au frisson qui la parcouru, au changement de son cri, et à la giclée chaude sur mes seins. Jai relâché mes bras, le laissant reposer complètement assis sur le plug, les pieds au sol, et après un bref coup dil à ma tante, qui nous regardait dun air satisfait, jai pris le sexe dans ma bouche et je lai sucé de mes lèvres et de ma langue, soulevant et laissant retomber les testicules sous le poids des anneaux. Après quelques soubresauts, il a commencé à débander. Sans attendre, je savais dexpérience quil ne fallait pas attendre, je lai fait se relever et sarracher au plug. Il a crié à nouveau sur les deux premières boules avant de sécrouler sur le tapis, couché en chien de fusil.
Jai pris la serviette de toilette sur la table et épongé le mince filet de sang autour de son anus, essuyant aussi quelques traces dexcréments sur ses fesses et ses cuisses.
Je lai accompagné dans la salle de bains, et je lai lavé dans la baignoire avec la douchette. Il était parfois secoué de profonds frissons et semblait reconnaissant que je moccupe de lui. Ma tante nous observait depuis la porte appuyée au lavabo :
- Je ne mattendais pas à ce que tu lentraînes sur le dernier! Tu as été vraiment dure avec lui ! Cest bien ! Je vous attends au salon
(Jonathan)
Nelly ma lavé et ma mis de la pommade entre les fesses et sur les couilles ; elle faisait doucement. Ses seins entourés par des cordes étaient très rouges et on voyait les veines violettes sous la peau.
Jai voulu toucher ses tétons mais elle sest reculée et ma donné une gifle ; je lai suivie dans le salon. Sa tante était assise au bord de la table du salon et elle était en train de se mettre de la crème sur la chatte. Nelly a mis une serviette sur le canapé avant que je massois et ma dit de plus bouger. Elle sest mise à genoux entre les jambes de sa tante et a versé de la crème sur toute sa main et elle la mise sur la chatte de sa tante qui me regardait :
- Approche !
Elle a pris ma queue dans sa main et elle me serait sans branler :
- Nelly
Elle a rentré trois doigts dans la chatte et la branlée en tournant sa main dans tous les sens, et après elle amis tous les doigts ensembles et elle poussait fort en tournant un peu et puis toute sa main est rentrée dans la chatte jusquau poignet. Je croyais pas que cétait possible
et Nelly faisait comme si sa main était un gode et elle branlait sa tante, de plus en plus vite. Jai su quand elle a joui parce quelle ma serré encore plus fort quavant et puis elle ma lâché et Nelly a retiré sa main. Sa tante la attiré et la embrassée sur la bouche avec la langue. Jaimerais bien quun jour elle membrasse aussi
Nelly a démonté les anneaux de mes couilles et jai détaché les cordes qui attachaient ses seins. On voyait les traces de la corde tout autour et les traces de la badine sur ses fesses aussi ; je comprends pourquoi elle ne veut pas que son copain la déshabille.
Avant quon parte, sa tante nous a montré un plateau sur la table de la cuisine :
- Demain, cest de toi que nous nous occuperons, Nelly
14 heures !
Nelly est devenue très pâle et elle serrait les poings en respirant vite. Jai regardé dans le plateau. Cétait une pince bizarre et puis des aiguilles emballées dans des papiers comme chez le docteur et puis aussi une grosse boucle doreille fermée par une boule.
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